Femme damnée
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Les Trois Faunesses
Conception : avant 1896
H. 24,8 ; L. .25,2 ; P. 14,4 cm
Plâtre
S.01163
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Les Trois Faunesses
Conception : avant 1896
H. 24,8 ; L. .25,2 ; P. 14,4 cm
Plâtre
S.01163
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Femme accroupie et enfants
Conception : vers 1882-1885
H. 54 ; L. 40 ; P. 39 cm
vers 1882-1885
S.02545
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Femmes damnées
Conception : 1885
H. 20 ; L. 29 ; P. 13 cm
Plâtre enduit d'un agent démoulant
S.00359
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Femmes damnées
Conception : 1885
H. 20 ; L. 29 ; P. 13 cm
Plâtre enduit d'un agent démoulant
S.00359
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La Prière
Conception : 1909
H. 126 ; L. 53 ; P. 47 cm
Plâtre enduit d'un agent démoulant
S.03964
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La Prière
Conception : 1909
H. 126 ; L. 53 ; P. 47 cm
Plâtre enduit d'un agent démoulant
S.03964
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Femme damnée, bras coupés et sans tête
Conception : Femme damnée, bras coupés et sans tête
H. 39,1 ; L. 13,3 ; P. 10,8 cm
Plâtre
S.00685
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Femme damnée, bras coupés et sans tête
Conception : Femme damnée, bras coupés et sans tête
H. 39,1 ; L. 13,3 ; P. 10,8 cm
Plâtre
S.00685
La Femme damnée apparaît sur des photographies anciennes de La Porte de l’Enfer en haut de la partie inférieure du relief latéral Les Limbes. Rodin l’en a retirée, et l’a replacée an haut à droite du tympan, en position allongée, coincée au-dessus d’une moulure. Il a aussi utilisé le torse de cette figure comme point de départ pour créer une variante, dotée d’une autre tête, qu’il a placée en haut à gauche du tympan.
C’est encore ce torse que Rodin a pris comme point de départ, vers 1909, pour un travail d’agrandissement au pantographe qui donna naissance à La Prière, l’une de ses œuvres les plus synthétiques, les plus épurées au plan formel. Elle n’a plus rien à voir avec L’Enfer, et ne cherche même plus à signifier quoi que ce soit.